Un revers pour le gouvernement en place aux portes de la campagne européenne et en pleine négociation pour créer le futur exécutif. Il vote du CPS et des Juntes au sein de la députation permanente du Parlement a été la clé du succès faire tomber le décret qui réglementait le locations saisonnières et de salles, une réglementation qui ne sera plus en vigueur et qui visait à mettre un terme au « picaresque » de certains propriétaires pour contourner les prix plafonds. Le soutien de l'ERC, de Comuns et de la CUP s'est avéré insuffisant face à la abstention des socialistes et le 'non' des post-convergentsPP, Ciutadans et Vox.
Le « non » de Junts avait déjà été annoncé. En fait, pendant la campagne, seuls les partis à gauche du PSC se sont engagés en faveur du Union des Llogateres soutenir un règlement précisant que toute location qui n'est pas un usage de vacances ou récréatif doit avoir ses revenus limités et déposer une caution comme le reste, qui comprend les appartements étudiants ou loués à des personnes qui sont dans la communauté pour travailler une saison spécifique ou pour des raisons médicales les raisons. Le gouvernement de Père Aragonès approuvé en urgence le 24 avril décret-loi qui a complété le texte du Droit du bail urbain (LU) à cet effet et avec un régime de sanctions pour les propriétaires qui ne se sont pas conformés.
Plus incertain était le vote des socialistes, qui ont finalement annoncé leur abstention sous prétexte que le décret crée « incertitude juridique »en plus, selon le député Alicia Romero, découragent certains propriétaires de mettre leur logement sur le marché locatif. Tant le CPS, qui a reconnu que le La loi nationale sur le logement présente des « fissures »car Junts a reproché au gouvernement – un reproche constant depuis un an et demi – de ne pas avoir travaillé au préalable sur le décret avec tous les acteurs impliqués et de ne pas l'avoir approuvé aux portes de la campagne catalane.
Impact sur les négociations
La « conseillère » par intérim de Territori s'est exprimée visiblement bouleversée, Ester Capellaqui a défendu cela sans la réglementation que le gouvernement avait promue « la spéculation est garantie » en matière de logement et que l'objectif était de mettre fin à la « fraude judiciaire ». Le leader des Comuns dans l'institution, Jessica Albiachpour sa part, a surtout regretté le vote du PSC, qui a prévenu que la régulation des loyers allait être un problème. « condition essentielle » pour qu’un pacte gouvernemental prospère.
Et ce vote dégrade le climat entre l'ERC, la Comuns et le PSC afin d'explorer un accord pour une éventuelle investiture du Salvador Illamais aussi celui des Républicains avec Junts, qui exigent une somme des indépendantistes pour devenir président Carles Puigdemont. Même si la CUP a déclaré « se sentir honteux » Avant que la réglementation ne soit annulée, le PP, Vox et Ciutadans ont accusé le gouvernement de « s'attaquer systématiquement » à la propriété privée.