L’ancien président du Généralité, Jordi Pujola supposé que la Catalogne ne pourra pas être indépendante. C’est ce qu’a déclaré l’événement d’hommage organisé par l’association Amics d’Enric Prat de la Riba ce vendredi à Castellterçol (Moianès). Pujol a rappelé que lorsqu’il a pris le pouvoir il y a 40 ans, il s’est rendu compte que l’Espagne était un pays « très puissant » et que la seule façon pour la Catalogne de « se sauver » était de négocier.
« Cela ne peut guère être dit maintenant, ni même un peu plus, car on a déjà vu ces derniers temps que l’indépendance est très difficile », a-t-il déclaré. Cependant, qui a été président de la Generalitat pendant 23 ans, il est convaincu que le progrès peut continuer dans le domaine Gouvernement autonome catalan. « La Catalogne ne sera jamais indépendante« , nous pouvons espérer nous sauver en négociant avec l’Espagne », a-t-il souligné, dans ce cas, lors de son passage à la tête de la Generalitat catalane.
À la fin de son discours, Pujol a admis que, étant jeune, il croyait déjà que la Catalogne ne serait pas son propre État et qu’il le commentait déjà à l’activiste Pere Figuera, ce qu’il considère désormais comme impossible, « du moins dans 10 ou 15 ans. »
En revanche, il a regretté la dissolution de Convergència et s’est déclaré « responsable » du « traumatisme » qui a conduit à cette décision. « Nous aurions dû pouvoir conserver » le matcha-t-il déclaré, en même temps qu’il a demandé à ses héritiers – bien qu’il n’ait pas mentionné directement Junts – de maintenir « cette politique » et de répondre au même « esprit » et à la « mentalité ».
Enfin, Pujol a dit que le immigration Il s’agit peut-être d’un « problème », mais il a demandé de ne pas avoir une attitude « d’hostilité » ou de « rejet » envers les nouveaux arrivants, mais plutôt d’« agir » pour qu’ils se sentent « identifiés » à la catalanité.
L’événement a eu la participation de certaines des personnalités les plus significatives de l’ancienne Convergència comme l’ancien président Artur Masl’ancien conseiller Felipe Puig et l’ancien maire de Barcelone, Xavier Triasainsi que l’ancien président du Parlement et ancien conseiller, Nuria de Gispert.