La croissance problème d’accès à la logement En Espagne, les causes sont multiples : revenu insuffisant disponible et économie des maisons à un pénurie d’approvisionnement ce qui empêche de répondre à la forte demande. Tous, en tout cas, se cristallisent dans certains prix moyens des propriétés qui sont au-dessus de de quoi le les familles peuvent payer. Ainsi, la Banque centrale européenne (BCE) estime que les propriétés résidentielles ont enregistré un surévaluation comprise entre 3% et 16%avec un 10% en moyenne. Pour mettre les choses en perspective, c’est le niveau moyen le plus élevé depuis près de 14 ansplus précisément depuis le dernier trimestre 2010.
La surévaluation du logement en Espagne aux yeux de l’autorité monétaire a marqué un tournant un record historique de 33,3% en moyenne au troisième trimestre 2007au sommet du bulle immobilière. Après l’explosion, elle a commencé à descendre rapidement. En fait, le effondrement des prix fait que, malgré la baisse du revenu disponible des ménages due à la hausse du chômage et à la baisse des salaires, le marché a enregistré sous-évaluation entre le dernier trimestre de 2011 et le deuxième de 2019. Autrement dit, pendant sept ans et neuf mois, le logement en Espagne valait moins que ce que les familles pouvaient payer.
Le plus haut niveau de sous-évaluation (18%) s’est produit en juin 2013le point le plus bas du crise financière et de la dette Public espagnol. Depuis lors, le logement a suivi une trajectoire ascendante qui l’a amené à sortir de la sous-évaluation au début de 2019 et à atteindre actuellement son plus haut niveau. surestimation dans 14 ans. En fait, on dit une surévaluation moyenne de 10% dépassé au premier trimestre à celui de l’ensemble zone euro (9,5%, avec une fourchette entre 17% et 4%) par première fois depuis septembre 2011. Les prix dans l’union monétaire ont ainsi atteint un maximum historique de surévaluation moyenne de 16 % à la mi-2022, mais depuis lors, la surévaluation s’est modérée, à l’opposé de ce qui se passe en Espagne depuis plus d’une décennie.
Proche de l’équilibre
Il Banque d’Espagne estime également que le logement en Espagne est plus cher que ce que les familles peuvent payer, mais beaucoup plus modéré que la BCE. Ainsi, il calcule une surévaluation moyenne du 2,86% à la fin du premier trimestre (avec un maximum de 4,48% et minimum de 0,92%), en baisse par rapport au niveau de décembre (3,76%, avec une fourchette de 8,4% à 0,7%). Selon leurs estimations, le croissance des revenus des ménages ont plus que compensé la hausse des prix de l’immobilier au cours des derniers trimestres, de sorte que les indicateurs de déséquilibre restent à « des valeurs positives, mais proche de son niveau d’équilibre« . En fait, la valeur moyenne du mois de mars (2,86%) est inférieure à la moyenne des deux dernières années (3,11%). Bien entendu, en un an, on estime qu’elle pourrait augmenter jusqu’à 6,27%.
Les différences entre les deux banques centrales sont dues au fait que Ils utilisent différentes méthodologies. L’estimation de la BCE repose sur quatre méthodes d’évaluation différentes qui déterminent si les prix sont conformes ou non à leur valeur moyenne depuis 1996, avec les principaux facteurs qui les affectent (tels que les taux d’intérêt, le PIB ou le parc immobilier disponible), et avec l’évolution du revenu familial (et de ce que l’on estime financièrement pratique qui sont utilisés pour payer l’hypothèque ou le loyer, généralement autour d’un 30% de votre revenu disponible).
Les calculs de la Banque d’Espagne, quant à eux, s’appuient sur quatre autres méthodes d’évaluation, qui prennent en compte des facteurs tels que le revenu disponible des ménages, le niveau des taux d’intérêt, la relation entre le crédit et le PIB ou l’évolution passée des prix. Dans tous les cas, il faut tenir compte du fait que les deux mesure des organes de contrôle la surévaluation ou la sous-évaluation de la maison du point de vue de la stabilité du système financiertout comme vos concurrents, et pas du point de vue du problème social ce qui représente la difficulté croissante d’accès au logement.
Différences régionales
Quoi qu’il en soit, la vérité est que le prix du logement dépasse déjà de 4,2% en termes nominaux, le précédent maximum historique qu’il a atteint au troisième trimestre de 2007comme l’a récemment souligné le département de recherche de CaixaBank. Les économistes de la banque soulignent en tout cas qu’en termes réels (c’est-à-dire en tenant compte de effet inflationnistece qui fait qu’un montant d’il y a des années équivaut aujourd’hui à un chiffre plus élevé), les prix de l’immobilier sont toujours 25,4% en dessous du maximum, même si ceux des nouveaux logements sont sur le point d’atteindre ledit sommet.
Plus précisément, les prix nominaux dépassent déjà le record de la bulle immobilière en Baléares (21,7% de plus), Andalousie (15,1%), Îles Canaries (10,1%), Madrid (8,2%), Murcie (0,9%) et le Communauté valencienne (0,3%). Pour le reste, les prix restent en dessous et, dans certains cas, à une grande distance mesurée. C’est ce qui se passe dans Navarre (22,3% en dessous du maximum), La Rioja (-17%), Aragón (-16%), Castille-La Manche (-15,6%), Estrémadure (-13,2%) et le Pays Basque (-11,1%). Catalognepour sa part, se trouve dans une situation intermédiaire, avec des prix toujours inférieurs de -5,3% au maximum.
Compte tenu de l’effet de l’inflation accumulée, les grandes différences régionales se répètent logiquement. Les prix sont plus proches des sommets de 2007 en Baléares (13,2% en dessous), Andalousie (-16,3%), Îles Canaries (-16,8%) et Madrid (-21%). Le contraire se produit dans Navarre (-44%), La Rioja (39,6%), Aragón (-39,9%) et Castille-La Manche (-39,2%). Dans Catalognesont encore 33,5% inférieurs à ceux d’alors.
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