Le président des États-Unis, Joe Bidentoujours roqué dans ses efforts pour être lui candidat démocrate s’affronter à nouveau lors des élections de novembre Donald Trump. Il le fait alors qu’il est plongé dans une intense lutte acharnée avec les dirigeants et les membres de son parti qui ne cessent d’augmenter la pression pour que le leader de 81 ans, embourbé dans une crise de confiance aiguë et extrême depuis le désastreux débat le 27 juin, un pas de côté.
Biden creuse convaincu de ses propres capacités pour gagner, comme il l’a déjà fait en 2020, face à l’ancien président républicain. Il estime que cette fois, comme tant d’autres au cours de sa longue carrière politique de cinq décennies, il sera sous-estime. Et cela persiste aussi avec Rage, frustration et ressentiment pour ce qu’il considère comme une trahison de puissants démocrates, notamment de l’ancien président de la Chambre basse, Nancy Pelosiet l’ancien président Barack Obama.
Le tir à la corde se déroule le démolisseur Pour le Parti démocrate, un « cauchemar » inimaginable il y a à peine un mois, comme l’ont reconnu des sources du groupe au « Washington Post ». Le sentiment de débâcle s’intensifie d’ailleurs, contrairement à la situation des Républicains. Trump, qui devançait déjà Biden dans les sondages avant le débat, a survécu à une tentative d’assassinat samedi dernier, un événement extraordinaire qui a renforcé son image, et pas seulement parmi les siens. Lors de la convention républicaine tenue la semaine dernière à Milwaukee, il a été intronisé comme roi et dieu absolu d’un parti uni où tout avance avec un ordre, une discipline et une organisation qui font sans aucun doute aujourd’hui l’envie des démocrates. Et ce samedi, il a proposé Grands Rapides (Michigan) son premier rassemblement après l’attentat avec son tout nouveau candidat à la vice-présidence, JD Vance.
Bien que pendant que se déroulait la convention républicaine sources anonymes proche de Biden et son entourage ont assuré que le président était plus « réceptif » à écouter les arguments qui recommandent son abandon, à étudier les sondages qui brouillent la voie de la victoire en novembre et qui pointent également vers le scénario d’une conquête républicaine de l’ensemble du Congrès, le message officiel de sa campagne et la Maison Blanche et Biden lui-même nient la véracité de ces fuites.
A l’ordre du jour de la semaine prochaine, Biden commence déjà à planifier le retour au événements de campagne dans Géorgie et Texas. Et aussi cette semaine qui commence, il doit rencontrer à la Maison Blanche le Premier ministre d’Israël, Binyamin Netanyahouqui a été invité mercredi par les Républicains à prononcer un discours devant la séance plénière du Congrès.
Machinations
Les informations qui proviennent du résidence d’été de Biden dans Plage de Rehoboth (Delaware), où il doit depuis mercredi s’isoler après un contagion covidest celui d’un leader à chaque fois plus de ressentiment pour ce qu’il considère comme une campagne orchestrée contre lui. Sa colère est particulièrement intense envers Pelosi, une figure qui a joué un rôle déterminant dans sa réussite. ses triomphes législatifs en ces trois ans et demi mandat et qu’il considère désormais comme principal instigateur de la rébellion contre lui. Déjà publiquement près de quatre douzaines de représentants et de sénateurs Ils lui ont demandé de partir.
Pelosi n’a pas publiquement exhorté Biden à abandonner, mais lui a dit en privé que ne voit pas le chemin. Et devant ses collègues, il a déclaré qu’il soutiendrait une convention ouverte « compétitif ». L’irritation de Biden est également particulière à l’égard d’Obama, selon des sources proches du président citées anonymement par le « New York Times » ce samedi. C’est Obama qui l’a choisi en tant que vice-président en 2008était à ses côtés en 2020 et dans cette campagne et juste après le débat il a publiquement défendu que Biden n’avait que «une mauvaise nuit».
Bien que l’ancien président soit depuis resté publiquement silencieux face à l’aggravation de la crise, les commentaires qu’il a faits à ses alliés ont été divulgués. montrer de la peur en raison de l’impact de la permanence de Biden en tant que candidat. Et pour le président actuel, c’est Obama qui tire les ficelles de ce qu’il considère comme le machinations pour le jeter dehors. Obama reste silencieux en public, mais ses anciens conseillers les plus proches, comme David Axelrodqui ont encore haussé la voix pour lui demander de partir.
Ces sentiments de Biden envers Obama mettent à rude épreuve une relation qui, malgré à l’amitié qui a travaillé dans le huit années partagée à la Maison Blanche, c’était déjà compliqué. Parce que ceux qui connaissent Biden assurent qu’il a un ecolonne vertébrale clouée depuis 2016, où Obama et son entourage ont contribué à lui faire abandonner toute aspiration présidentielle (qu’il hésitait lui-même à poursuivre cette année-là après la mort de son fils Beau) pour ouvrir la voie à Hillary Clinton.
‘Game of Thrones’
Biden n’est pas seul dans sa colère. Des sources du « Washington Post » assurent que même dans le Famille Biden et surtout chez sa femme et confidente, Jillet son fils Chasseur, Il y a une profonde colère face à ce qui se passe. Ils sont convaincus que la crise ouverte par le débat (ce qui a multiplié de façon exponentielle les doutes et les inquiétudes que les électeurs exprimaient depuis des mois) si de nombreux démocrates n’avaient pas commencé à unissent leurs forces contre. Selon le journal, ils considèrent ce qui se passe comme « une guerre à la manière de « Game of Thrones » entre différentes factions du parti.
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