La pièce 'Cacophonie' a atteint vendre tous les billets disponible pour les cinq fonctions fournies dans le Chambre Beckett de Barcelone cette semaine. Cette fonction a provoqué la colère des Espagnol pour une séquence qui inclut un joueur fictif du club de football bleu et blanc commettant un râpé.
Le directeur de la Salle Beckett, Toni Casarèsa dénoncé dans le RAC 1 que tant le des acteurs comme le réalisateur des travailleurs « sont inquiets » après avoir reçu des menaces de mort.
Le 18, le hall d'exposition a émis un libérer à travers leurs réseaux sociaux dans lesquels ils dénoncent non seulement un « attaque directe contre la liberté d'expression, mais (aussi) contre la dignité même du théâtre et de l'art en général.
Épuisé
L'ouvrage dirigé par Anna Serrano Gatell sera joué dans la salle Beckett cinq fois cette semaine. La salle de théâtre propose une séance quotidienne à 19h30 à partir de là mercredi 21 février jusqu'au dimanche 25 février.
Si vous essayez d'acheter des billets pour le spectacle via le site Web de la Sala Beckett, vous trouverez le panneau indiquant les places « épuisé » dans toutes les séances sauf celle du vendredi 23, où il est toujours possible d'acheter un billet pour les personnes à mobilité réduite.
La salle où est jouée « Cacophonie » admet un total de 217 sièges. Avec tous les billets vendus sauf un, 1 084 personnes apprécieront « Cacophony » cette semaine.
La pièce devrait être jouée entre 24 janvier et 25 févrierdonc la séance de dimanche devrait être la dernière. Pour le moment il n'y a pas de confirmation si d'autres représentations de la pièce seront programmées après avoir accroché le panneau « Tous vendus » cette semaine.
L'intrigue de l'œuvre
« Cacophonie » parle plainte via Internet à partir d'un condamnation d'une affaire de viol réalisée par un groupe de jeunes féministes. Selon le synopsis de l'ouvrage, il aborde « le le pouvoir des réseaux sociaux pour féliciter et annuler quelqu'un en quelques secondes.
Les supporters du RCD Espanyol dénoncent l'utilisation de le personnage (fictif) d'un joueur de club comme auteur des faits. Références des fans de perruches comme l'animateur radio José Antonio Meca Ils ont exprimé leur inquiétude à travers les réseaux sociaux.
Dans l'interview du RAC 1, Casarès explique que, pour que la représentation ait un sens, il fallait que la joueuse soit issue d'un club de second ordre : « L'ouvrage parle d'un groupe de jeunes féministes indigné par la condamnation d'un accusé de viol acquitté et je me demande si c'est moins important car il est en Deuxième Division » Cela justifie en revanche la mention du club des perruches pour la décision d'inclure « références locales« .