Le gouvernement a l’intention d’intensifier l’intelligence artificielle avec un régime de sanction rigoureux. Le projet de loi de gouvernance et une bonne utilisation de l’intelligence artificielle approuvé mardi au Conseil des ministres Il établit une sanction sérieuse, avec des amendes comprises entre 500 000 et 3,5 millions d’euros, pour ne pas remplir l’obligation d’étiquetage de toute image, vidéo ou audio générée par l’IA. Autrement dit, le « faux faux », comme c’est le cas des vidéos de réseaux sociaux auxquels le PP a eu recours à l’exécutif ces derniers jours. Ce sont des amendes qui sont considérées comme une «dissuasion», selon les sources du ministère de la Transformation numérique et qui, au-delà de la sphère politique, sont conçues pour la protection des mineurs ou des entreprises.
Dans le cas des pratiques considérées comme interdites, les sanctions sont encore plus volumineuses. Ils vont, selon le projet, entre 7,5 et 35 millions d’euros, ou entre 2% et 7% du volume commercial du monde, Si cette dernière figure est supérieure. Il s’agit notamment de l’utilisation de techniques subliminales pour manipuler les décisions sans consentement et qui causent des dommages considérables à la personne (identification des profils souffrant de dépendances pour les inciter à consommer); Exploitation des vulnérabilités liées à l’âge, au handicap ou à la situation socioéconomique pour modifier les comportements causant de graves dommages; la classification biométrique des personnes par race ou orientation politique, religieuse ou sexuelle; le score des individus ou des groupes comme méthode de sélection pour nier l’aide ou les prêts; ou la détection des émotions à l’œuvre pour des promotions ou des licenciements, entre autres.
L’autorité chargée de procéder aux sanctions et de surveiller la conformité au règlement sera l’agence espagnole de supervision de l’intelligence artificielle dans la plupart des cas. Quand il s’agit de problèmes qui Ils affectent la démocratie, ce sera le conseil électoral central Celui qui agit, tandis que le CGPJ le fera pour les systèmes d’IA dans le domaine de la justice et l’agence espagnole pour la protection des données dans le domaine de la biométrie.
Avec ce projet préliminaire, pour transférer les réglementations communautaires dans lesquelles le gouvernement a été mis au point, le gouvernement, Avec l’ancienne vice-présidente Nadia Calviño à la têteLe gouvernement complète la triade de protection dont le projet sur les médias et les services numériques fait partie. L’adaptation normative de ce dernier permettra même de bloquer certains services de géants technologiques, dans le cas où les infractions considérées comme très graves ou pour des raisons de sécurité publique et de santé, de défense nationale ou de protection des jeunes et de l’enfance sont réitérées.
Discours de haine
« L’enlèvement de pages Internet ou de leur restriction lorsqu’elle affecte les droits et libertés d’expression et d’informations et d’autres protégés dans les termes établis à l’article 20 de la Constitution », doit avoir Autorisation judiciaire.
La norme vise à traiter les discours de haine et la désinformation, à mettre fin à l’anonymat dans les réseaux sociaux ou à avoir accès à des algorithmes. Outre ces réformes, le président du gouvernement, Pedro Sánchez, a affirmé aller plus loin. À la fois au niveau de la réglementation, de sorte que « Technomillonarios»Compte personnel. avant justice en cas de violation sur ses plateformes, comme lors de la présentation d’une alternative aux géants technologiques. C’est-à-dire la promotion de leurs propres réseaux sociaux, navigateurs et services de messagerie.