Le Tribunal national a rendu un arrêt pour dissiper les doutes concernant Comment doivent être calculés les cinq jours de congé pour diverses hypothèses de maladie, accident ou hospitalisation des membres de la famille, qui ont été approuvés dans le décret-loi royal 5/2023. Le tribunal a jugé qu’ils devaient être considérés comme jours ouvrables, pas de jours calendaires. Il en est de même pour les deux jours de congé en raison du décès d’un membre de la famille.
Cette autorisation peut être demandé à la fois par le conjoint ou le partenaire de faitcomme par exemple par les parents jusqu’au deuxième degré par consanguinité ou affinité, y compris le parent par le sang du couple de fait, et même par toute personne autre que celle ci-dessus qui vit avec le personne qui travaille dans la même maison et cela nécessite d’en prendre soin efficacement.
Nouveau permis de travail
Le Statut des Travailleurs, connu comme le « manuel » du droit du travail, envisage divers permis payants qui permettent aux travailleurs de s’absenter de leur travail de manière justifiée et sans perte de salaire. Parmi eux, celui qui est peut-être méconnu de beaucoup est le permis de formation, une licence qui permet aux personnes intéressées de poursuivre leur développement professionnel.
Cette autorisation de formation est réglementée par l’article 23.3 du Statut des travailleurs et est constituée de 20 heures par an. Toutefois, sa durée effective peut être plus longue, puisqu’il est permis l’accumuler sur une période pouvant aller jusqu’à 5 ansc’est-à-dire profiter d’un maximum de 100 heures. Concernant les détails de la demande et d’autres aspects de sa jouissance, le statut ne le précise pas, indiquant qu’« à défaut de ce qui est prévu dans la convention collective, la détermination du mode de jouissance du congé sera convenue par accord commun entre l’ouvrier et l’homme d’affaires. »
D’autre part, le deuxième vice-président du Gouvernement et ministre du Travail et de l’Economie Sociale, Yolanda Díaz, a appelé ce lundi le CEOE à être « à la hauteur des circonstances » et soutenir le réduction du temps de travail de 40 heures par semaine à 37,5 heures par la loi et sans réduction de salaire. « Nous sommes dans le processus final de négociation à la table du dialogue social. Le ministère du Travail et de l’Economie sociale donne tout parce que nous sommes conscients que il y a une possibilité de parvenir à un accord (…) J’espère que le patronat espagnol se montrera à la hauteur car il n’a aucune excuse », a déclaré Díaz.