Les indépendants qui prennent leur retraite mais continuent à travailler commenceraient à percevoir une pension de 45 % et pourraient atteindre 100 %

Il Ministère de l’Inclusion, de la Sécurité Sociale et des Migrations a amélioré son offre de réforme du retraite active et essayer de convaincre davantage de travailleurs, notamment travailleur indépendant, afin qu’ils prolongent leur vie active au-delà de l’âge de la retraite. Le département dirigé par Elma Saïz a proposé aux agents sociaux que les travailleurs qui décident de retarder leur retraite et de continuer à travailler une fois à la retraite puissent commencer par combiner 100% de leur salaire ou revenu et une pension de 45%, pour augmenter progressivement ce pourcentage jusqu’à un 100% de l’offre publique du 11 ans de retraite activeselon différentes sources proches des négociations.

La Sécurité sociale est sur le point de parvenir à un accord avec les employeurs et les syndicats pour réformer plusieurs pans du système de santé publique. pensionsparmi lesquels se distingue la retraite active susmentionnée, ainsi que la retraite partiel ou le mécanisme de réduction des coefficients pour le préretraite, entre autres. Selon les différentes sources consultées par ce média, l’accord est proche et les plus optimistes le concluent en quelques heures. L’association patronale CEOE a déjà convoqué son comité exécutif à 10 heures ce mercredi pour voter pour ou contre la réforme.

L’un des points qui échouent dans ce «oui» définitif est la retraite partielle, où les conditions auxquelles sont soumis les travailleurs qui entrent en tant que releveurs à partir du moment où un ancien combattant entre en retraite partielle ne sont toujours pas clairs. Là où le consensus est le plus large, même s’il existe encore quelques lacunes, c’est en matière de retraite active.

Ici, les chiffres traités actuellement par les négociateurs sont les suivants, au prix d’éventuels changements de dernière minute. Actuellement, un travailleur ou un travailleur autonome qui décide de prendre sa retraite mais de continuer à travailler entame sa nouvelle étape en cumulant 50 % de votre pension et 100 % de votre salaire ou revenu. Et puis le travailleur ne perçoit plus de pension jusqu’à ce qu’il prenne définitivement sa retraite, abandonne ses revenus de travail et passe à une pension à 100 %.

La Sécurité sociale propose désormais un barème qui augmente progressivement le pourcentage de perception des prestations publiques, afin d’encourager les retraités actifs à prolonger leur vie professionnelle autant qu’ils le peuvent ou le souhaitent et à continuer de contribuer au trésor public.

Le travailleur qui, immédiatement après avoir atteint l’âge de la retraite, demande à percevoir la pension mais continue à travailler commencera par cumuler 45% de la pension et 100% de ses revenus de travail. Pour chaque année passée en retraite active, le pourcentage de pension que vous percevez augmentera de 5 %. Autrement dit, la deuxième année, vous facturerez 50 %, comme maintenant, et la troisième année, vous facturerez plus. Après six ans d’activité, vous recevrez une pension de 75% et après 11 ans vous atteindrez le maximum de 100%.

Plus la retraite est longue, plus la retraite est retardée

Les conditions par rapport à la législation en vigueur varient également dans le cas où le travailleur concerné est autonome et avoir un ou plusieurs employés en charge. Dans ce cas, je commencerais par charger le 75% de pension et 100% de vos rendements, d’augmenter de cinq points pour chaque année d’allongement de sa carrière le pourcentage qu’il perçoit au titre de sa pension. Autrement dit, dans cinq ans, ce serait également 100 % de pension et de revenus. Ces travailleurs indépendants avec salariés seraient perdants par rapport à la législation actuelle, dans laquelle ils peuvent cumuler 100% de la pension et des revenus de la première année de retraite active.

Cependant, la Sécurité Sociale, dans sa proposition, a permis une deuxième porte pour augmenter le pourcentage de pension à percevoir si les travailleurs retardent le moment de commencer à percevoir la pension. Plus il faudra d’années pour commencer à bénéficier des prestations publiques, plus le pourcentage que vous commencerez à percevoir sera élevé, sur la base d’une pension de 45 % la première année, de 55 % de pension la deuxième, de 65 % la troisième année, de 80 % la quatrième et de 100 %. % à partir du cinquième. Des pourcentages qui améliorent sensiblement les premières offres de l’Exécutif, qui a débuté cette retraite échelonnée à partir de 30 %.

En attente de retraite partielle

La retraite partielle constitue actuellement le plus grand obstacle pour toutes les parties à conclure un accord, après huit mois de négociations. Selon diverses sources, les syndicats ambitionnent de réduire encore les années minimales de cotisation pour pouvoir accéder à la retraite partielle anticipée ordinaire. La Sécurité sociale a proposé de pouvoir avancer la retraite partielle jusqu’à trois ans (il y en a désormais deux), en échange d’exiger d’avoir 36 ans et demi de cotisations. Ici, les centrales électriques exigent moins d’années et les négociations se poursuivent.

Préciser également la qualité d’emploi que doit avoir la personne qui arrive en relève en cas de retraite partielle. Certains vétérans qui souhaitent cesser de travailler une partie de leur journée exigent, selon la loi, que l’entreprise embauche une autre personne pour les former et remplace la première personne lorsqu’ils prendront définitivement leur retraite. Là, les usines exigent que le nouvel employé soit indéfinià temps completdans un emploi non amortissable et avec de meilleures conditions d’accès que celui qui part (c’est-à-dire de meilleures salaire). Ce qui impliquerait un coût plus élevé pour les entreprises, ce qui fait que les employeurs ne voient finalement pas la situation d’un bon oeil. La négociation pivote désormais sur ces derniers enjeux et la Sécurité sociale fait pression pour pouvoir la clôturer au plus vite.

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