Deux condamnations accusent Sitges et Vilassar de Mar d’avoir dépassé les limites de leur réglementation en matière d’appartements touristiques

La régulation toujours délicate du phénomène expansif de appartements touristiques soulève également de la poussière juridique au-delà Barcelone, où le plan d’urbanisme à cet égard a déjà subi un revers judiciaire il y a des années. En attendant que la Cour Constitutionnelle se prononce sur la nouvelle réglementation catalane de appartements touristiques, deux phrases de Tribunal Supérieur de Justice de Catalogne (TSJC) —l’un d’eux très récent— contre les mairies de deux villes côtières au sud et au nord de la capitale, Sitges et Vilassar de Mar, délimiter le terrain de jeu des administrations locales en matière de régulation boom des licences touristiques dans les communes. Il convient toutefois de tenir compte du fait que les résolutions sont antérieures à l’entrée en vigueur de la Décret catalan fait appel devant la Cour constitutionnelle.

Les précédents judiciaires, auxquels vous avez eu accès LE JOURNAL, Ils sont particulièrement pertinents dans le cas de Sitgesqui est la deuxième ville de la province de Barcelone derrière la capitale (10 035) avec le plus grand nombre d’appartements touristiques inscrit, un total de 1 739 selon les dernières données de Département des Affaires de la Generalitat. Dans Vilassar Il y en a 247.

Dans les deux cas, en réponse à deux recours contentieux-administratifs déposés par le Association des Appartements Touristiques de Barcelone (Apartur), La conclusion du TSJC est la même : aussi bien Sitges que Vilassar, reproche le tribunal, Ils ont outrepassé leur juridiction pour réguler les appartements touristiques de leurs villes, un scénario qui motive nullité de plus d’une douzaine d’articles dans chacune des ordonnances municipales.

Les casuistiques locales, en outre, ils ressemblent, au-delà du fait que la condamnation de Vilassar date du 3 mai dernier et celle de Sitges d’il y a tout juste un an, le 13 juin 2023, et fait l’objet d’un appel de la mairie devant le tribunal. Cour suprême. Par exemple, dans les deux décisions, le TSJC réprimande les villes pour ayant interdit la vente de licences touristiquesqui était destinée à être validée uniquement dans les cas de transmission pour cause de décès, car elle envahissait le compétence que la Generalitat développé à travers la loi catalane sur la facilitation de l’activité économique.

En fait, le compétence exclusive de la Generalitat en matière de tourisme, prévu dans le Statut, est un lieu commun du TSJC pour justifier la portée excessive des consistoires. Ceci repose également sur d’autres préceptes des ordonnances qui ils finissent par être déclarés nuls et non avenus, comme l’obligation de fournir un police responsabilité civile de 300 000 € enregistrer une licence touristique; l’obligation des titulaires de permis de réponds dans 30 minutes aux exigences de la police ou de la municipalité ; ou l’obligation de prouver par le biais d’un registre qu’un « désinfection correcte de la propriété ».

Sitges fait appel, Vilassar accepte

Là où il y a une différence notable entre les cas de Sitges et de Vilassar de Mar, c’est dans le « attitude procédurale » des deux villes intentant une action en justice contre Appartement. Dans le cas de Sitges, la Mairie a décidé de faire appel de la décision du TSJC devant la Cour Suprême, comme l’a confirmé à ce journal la maire de la commune elle-même, Aurora Carbonell (ERC), qui dans un récent rapport défendait la réglementation locale restrictive mais excluait en même temps l’application de la ‘Formule Collboni’ éliminer la figure de l’appartement touristique à l’avenir.

Ce n’est pas le cas de Vilassar, qui non seulement n’a pas fait appel de la décision du TSJC, mais a également accédé à la demande d’Apartur. acceptant ainsi leurs réclamations, fait qui a permis au consistoire limite à 1 000 euros le paiement des frais de procédure.

En plus des normes déjà expliquées, le TSJC condamne également les consistoires pour avoir outrepassé le régime des sanctions qu’ils envisageaient d’appliquer aux titulaires de licences touristiques dans leurs villes. Par exemple, Les juges prononcent la nullité d’un article dans lequel une sanction prévue est appliquée violations graves pour un comportement qu’une loi catalane qualifie de mineur (Sitges), ou un autre dans lequel « ne répondant pas aux Téléphone de contact 24 heures sur 24 dans le délai fixé par les exigences de la police ou des services d’inspection municipaux » pour traiter les incidents (Vilassar de Mar).

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