« Déshabiller quelqu'un avec l'IA est un crime presque impossible à éradiquer »

« Déshabiller » quelqu'un avec Intelligence artificielle c'est un crime, mais c'est techniquement possible et très difficile à éradiquer. La chercheuse spécialisée en intelligence artificielle et directrice de la Fondation Ellis, Nuria Oliver, explique qu'il y a déjà eu de nombreux cas de ce type en Espagne et à l'étranger, avec de grandes stars comme Rosalía et Taylor Swift qui ont été victimes de ces programmes. Même si les grandes entreprises peuvent réglementer leurs algorithmes, il existe de nombreuses IA open source qui ne sont pas si facilement contrôlables.

Cela ne veut pas dire que le crime ne vous persécutez pas et ne vous condamnez pas. Mais ce qui est inquiétant, c'est que « ce type d'images est partagée dans des groupes privés et est difficile à retracer. Le temps qu'on les retrouve, le mal est déjà fait aux victimes et les photos circulent sur Internet ». L'Internet »dit Olivier.

Il ajoute que c'est un très grand défi, mais qu'il y en a déjà d'autres IA qui peut se charger de filtrer ce type de contenu et de veiller à ce qu'il ne circule pas sur le réseau. Malgré tout, il est fort probable qu’il s’agisse d’un risque lié à l’émergence de l’intelligence artificielle avec lequel il faut composer.

Images obtenues sur les réseaux sociaux

La Garde civile de Valence enquête sur cinq mineurs pour modification, en utilisant des techniques de surveillance. intelligence artificielle (IA) et sa diffusion ultérieure d'images obtenues sur les réseaux sociaux d'étudiants de divers centres éducatifs montrés nus.

Au total, dix-sept femmes ont été lésées, dont treize mineures, selon le La gendarmeriedans un communiqué indiquant que les cinq mineurs, de nationalité espagnole, font l'objet d'une enquête pour commission d'un délit de révélation de secrets.

Deux instituts à Valence

Selon des sources, la direction de deux jeinstituts d'enseignement secondaire de la province de Valence a tiré la sonnette d'alarme fin novembre face à la diffusion de photographies de femmes mineures modifiées par IA pour les laisser complètement nus.

D'après les informations obtenues par les agents, la prétendue paternité de cinq mineurs majeur, qui aurait obtenu les photographies sur les réseaux sociaux des victimes, les modifiant ensuite via IA de les déshabiller et de les étaler sans autorisation des intéressés.

Dans ces cas le protocole est appliqué l'intimidation à l'école, récemment modifié cette année et qui prévoit une « équipe d'intervention » composée de professionnels du centre qui assiste la victime en moins de 24 heures.

Pour agir vite

L'objectif de ce nouveau protocole est le vitessepuisque l'ancienne avait un excès de bureaucratie qui pouvait s'écouler plusieurs mois, voire un an, depuis que l'affaire était communiquée au Précédent (Plan de prévention de la violence et de promotion de la coexistence) jusqu'à ce que quelqu'un se présente au centre pour agir. Pendant tout ce temps, la victime a continué à être harcelée par son harceleur et, dans de nombreux cas, a fini par quitter l'école pour se retrouver seule en attendant une réponse qui n'est pas venue.

Lorsqu'un cas de harcèlement est détecté, la première chose est de le communiquer à l'enseignant, qui le fera immédiatement auprès de l'équipe de direction. En raison de la gravité de ce cas, l'équipe de direction a décidé de le signaler directement au La gendarmerie, qui a ouvert les enquêtes appropriées et arrêté les cinq mineurs accusés de diffuser ce contenu sans consentement. Il Programme d'ordinateur Celui avec lequel ils l'ont fait indique clairement qu'il est uniquement autorisé d'utiliser des photos de personnes majeures, mais ils n'ont également aucun système de contrôle sur celles-ci.