Le Consell a éliminé les enregistrements des caméras de sécurité du Palau de la Generalitat dans l’après-midi du 29 octobre, Dana Day. PSPV et les compromis les ont demandé pour Clarifier le lieu où le président Carlos Mazón Pendant les heures critiques, comme dénoncé mardi, révélant les demandes de documentation et la réponse fournie par la présidence du Generalitat, qui est acceptée à la loi organique 4/1997 qui réglemente l’utilisation des caméscolateurs par les forces de sécurité et les organismes dans les lieux publics pour ignorer la demande.
Cette règle dans l’article 8 établit que les enregistrements « seront détruit dans un délai maximum d’un mois De leur collection, à moins qu’ils ne soient liés à des infractions criminelles ou administratives graves ou très graves, avec une enquête policière en cours ou avec une procédure judiciaire ou administrative ouverte. «
Cependant, un rapport du commissaire en charge de la sécurité des Palaos lus par la porte-parole du Consell mardi lors de la conférence de presse après la plénière de l’exécutif précis qui actuellement La durée des images est de quinze jours.
Le secrétaire régional à la transparence, Santiago Lumbreas, se limite à sa réponse à communiquer avec PSPV et comprome Le Generalitat « s’est conformé aux attendus » dans l’article 8 de la loi 4/1997. La présidence du Generalitat a par la suite confirmé que, en fait, les images de 29-O ont été éliminées.
Avant cette confirmation officielle de l’élimination du matériel audiovisuel, l’Union des compromis, Joan Baldoví, et celle du PSPV, José Muñoz, avait critiqué ce nouveau refus du Generalitat pour fournir des informations relatives à l’agenda Mazón (Il a déjà rejeté son enregistrement des appels ou ses déplacements en voiture), en train de reprocher « l’opacité » et le « tente de masquer les informations« Sur le lieu où se trouve le président ce jour-là.
Les deux ont exprimé leur étrangeté face au fait que le Generalitat a effacé ces images des Palaos, mais néanmoins elle a contribué la photo de l’arrivée de Mazón aux Cecopi à 20 h 28, lorsque le juge a posé des questions sur sa présence au moment de l’envoi de l’Estaert.
La présidence du Generalitat explique à cet égard que le centre de coordination d’urgence est une infrastructure critique dont le système de surveillance vidéo est accueilli dans un autre règlement, qui permet d’y accéder pendant une période plus longue.