La AP-7 C’est le résultat de beaucoup de choses. Ils peuvent même blâmer la Banque mondiale qui, au milieu des années 1960, a recommandé au régime de Francisco Franco de construire des autoroutes au profit de l’industrie et du tourisme. C’est dans les années 70 qu’elle a été inaugurée, par sections, dans ces décennies où l’automobile était synonyme de prospérité. Plus d’un demi-siècle plus tard, le Artère méditerranéenne souffre d’une grave problème de congestionen grande partie à cause de suppression des péagesen septembre 2021. Cet été touchera à nouveau l’effondrement, mais la vérité est que tout au long de l’année, et pendant la semaine, c’est déjà un festival constant d’incidents. Mais il n’y a pas de bon côté : il y a moins de personnes qui empruntent des routes plus dangereuses, ce qui se traduit par un réduction de la mortalité au volant. Sur la manière d’améliorer la situation sur les autoroutes, la réponse comporte de nombreuses branches, depuis les Connexions et la signalisation vers le se diriger vers d’autres routes grande capacité.
Les camions et les voitures partagent l’espace sur l’AP-7, car cette autoroute traverse Sant Cugat / Ferran Nadeu
Ramón LamielDirecteur de Service de transport catalan (SCT), veuillez vous référer à ce journal pour aborder le problème de l’AP-7. Et comme un médecin devant son patient en sous-vêtements, passe de l’examen et du diagnostic au traitement éventuel. Comme pour le corps humain, une maladie localisée dans un endroit très précis peut avoir son origine et sa sortie à d’autres endroits. C’est l’une des premières observations de Lamiel, qui considère qu’une partie de la solution est « dans analyser le réseau routier comme une somme de conduits qui s’alimentent les uns les autres », et par conséquent, ils sont également complément et ils donnent un coup de main.
Véhicules fluctuants
C’est là que le concept de « équilibrage du trafic« , c’est-à-dire être capable de véhicules fluctuants vers l’un ou l’autre itinéraire selon les besoins. Exemple : je veux aller sur la Costa Brava et La logique est de prendre l’AP-7, mais dans certaines circonstances, parier sur le C-32 peut être une meilleure option. Le même au sud, mais en direction de Tarragone, le même C-32 dont la Generalitat est responsable maintient toujours le péage et cela génère un effet de rejet évidentce qui aggrave encore la situation sur l’autoroute de la Méditerranée.
Effondrement de l’AP-7 causé par un incendie de camion, en juin 2022 / Ferran Nadeu
Il s’agit d’améliorer les connexions, de les rendre plus agiles, plus spatiales, plus directes. Le meilleur exemple d’une intersection mal résolue, partage Lamiel, est peut-être la jonction entre l’AP-7, la C-58 et la N-150. Le responsable de Trànsit le résume familièrement : « Il est là pour le faire exploser et le rendre tout nouveau. Dans la région du Vallès, les branchements ont été mal effectués« . Le appariement avec A-2 à Martorell (1.200 véhicules par heure réclamant une deuxième voie d’entrée), ou celui du C-15 près de Vilafranca.
« L’union de l’AP-7 avec le C-58 doit être dynamite et tout faire nouveau. Dans la région du Vallès, les connexions ont été mal faites »
Il est également urgent de couplage de l’A-7 avec l’AP-7, qui selon Lamiel, devrait être résolu avant Tarragone en direction du nord. Insistant sur l’idée que tout doit être plus simple, plus naturel et plus intuitif, il considère également qu’il est impératif d’améliorer attelage avec le C-16 ou le C-60 (indispensable pour relier à Argentona avec le C-32).
Quatre des cinq points avec la plus forte intensité de circulation quotidienne moyenne de tout l’État se trouvent aux portes de Barcelone
En bref, l’un des meilleurs traitements consiste à créer un réseau de « contournement » qui briser la sensation d’un compartiment fermé sur la grande autoroute qui traverse toute la Catalogne. Certaines de ces interventions sont incluses dans le feuille de route présentée il y a deux ans par le Gouvernementqui avec un investissement de plus d’un milliard d’euros, il s’attend à ce que les choses s’améliorent beaucoup avant la fin de la décennie.
Piège à souris dans le Vallès
La section la plus délicate de l’AP-7 pendant la semaine est celui qui s’étend du nord au sud de la ville de Barcelone, qui coïncide avec le B-30. Essentiellement, de Martorell à Llinars del Vallès. « Tout incident génère des problèmes très importants. Ce tronçon, notamment de Papiol à Mollet, est une souricière, car il n’a pas d’accotements praticables. Rejoindre l’autoroute avec la B-30 serait merveilleux. Et c’est un travail qui est déjà prévu. »
De Granollers à Mollet, il existe également un tronçon qui génère de nombreux problèmes en semaine. « C’est lié – souligne Lamiel – avec le C-33 et le B-10 et tout ce qui va et vient au port« . Au fond, des camions. Pas en vain L’AP-7 rassemble 10 des 20 points de tout l’État avec une plus grande concentration de véhicules lourds.
Accident entre deux camions sur l’AP-7, près de Vendrell / ACN
La intensité dans l’AP-7 Cela rejoint la situation de stress que connaissent déjà les environs immédiats de la capitale catalane. Selon les données collectées par Trànsit, quatre des cinq points (voir graphique ci-dessous) avec la plus forte intensité de circulation quotidienne moyenne de tout l’État se trouvent précisément aux portes de Barcelone. Parmi le top 20, l’autoroute de la Méditerranée apparaît à deux reprises, précisément en deux points de l’autre côté de Collserolaà la hauteur de Sant Cugat et Barberà del Vallès.
Les problèmes pendant les week-ends sont nombreux plus distribué à travers le territoire. La entrée de C-35 à AP-7 (au centre commercial La Roca et à Cardedeu) et le union avec le C-60 vers le Maresme génèrent trois perturbations d’affilée qui font le bonheur des embouteillages pendant les vacances. C’est pourquoi c’est l’un des points où il faut créer une voie supplémentaire en sens inverse de l’autoroute, capable de absorber environ 750 véhicules par heure.
Au sud, le conflit se déroule dans le conjointement avec C-15de Vilafranca à Gelida, et de Vendrell à Vilafranca pour la contribution de ceux qui passent par l’AP-2 (voilà l’autre flacon supplémentaire).
Papillon au volant
Une petite étincelle à l’un de ces points suffit pour que tout explose sur AP-7. Battement d’un papillon au volant. C’est un autre aspect qui reste à améliorer, celui du réponse aux incidents. Maintenant, un nouveau contrat d’intervention commence, dit Lamiel, avec lequel augmenter le personnel et les heures de fonctionnement. Pour le court et moyen terme, ajoute le directeur de Trànsit, l’idée est que certains points noirs faire préparer des sceaux d’agir dans les plus brefs délais.
L’AP-7, près de Barberà del Vallès, remplie de poids lourds / Ferran Nadeu
La réponse agile est l’élément déterminant pour l’autoroute souffrir le moins possible. Un accident impliquant des camions, par exemple, Cela nécessite désormais environ sept heures de travail avant que l’artère ne revienne à la normale. Il ne s’agit pas seulement de retirer le véhicule et de nettoyer ou réparer la route. L’expert en assurance cargo doit également venir déterminer ce qu’il faut faire de la marchandise. Ça devrait aider aussi projet à vitesse variable dans certains tronçons de l’AP-7 déjà en appel d’offres. Dans les tronçons vers Tarragone, l’AP-7 « est une montagne russe », ce qui provoque de nombreux accidents car les voitures changent beaucoup de vitesse sans le vouloir.
D’après les circonstances
La bonne nouvelle, parmi les mauvaises, c’est qu’en 2024, « seulement » deux personnes ont perdu la vie à bord de l’AP-7. Les deux chauffeurs de camion, un fait qui invite déjà à réfléchir sur la question de savoir si devrait être plus rigide sur le transport de marchandises. En 2022, également au cours des six premiers mois de l’année, il y a eu 15 victimes. « Le fait qu’il y ait plus de monde sur les autoroutes est, au fond, une bonne nouvelle en matière d’accidents, car maintenant il y a moins qu’avant qui empruntent les routes secondaires, beaucoup plus dangereux« , souligne Lamiel. L’AP-7 est un enfer, mais il s’avère qu’il sauve aussi des vies.
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