Même si la plupart des intervenant reconnaissent que la technologie de la réalité virtuelle doit encore être améliorée, pour offrir autre chose que des scènes porno du point de vue de l’homme, ils estiment qu’elle a un grand intérêt comme futur outil d’éducation sexuelle.
Environ 5 000 revendeurs se sont donc retrouvé pendant trois jours, venant de 40 pays dont le Japon, la Chine, les Etats-Unis et l’Allemagne. La présence des professionnels américains et allemands s’expliquent par le fait que les sociétés asiatiques ne peuvent pas participer aux salons occidentaux, dominés par les intermédiaires. Ces derniers n’appréciant pas de voir les fournisseurs asiatiques vendre au final moins cher les même produits. Du coup Américains, Allemands et autres font directement le trajet vers Hong Kong pour découvrir les nouveautés.
Le salon est devenu le point de rencontre de tous les produits « Made in China » explique Kenny Lo au South China Morning Post. Pour l’organisateur de l’événement, « C’est le seul lieu qui autorise les chinois à exposer en dehors de la Chine continentale.